Hier matin, 3 Octobre, tu t'es endormie sereinement dans mes bras, sans souffrances, que celle de devoir partir. Peut-être n'as-tu pas compris pourquoi ton heure était arrivée, pourquoi il te fallait quitter cette maison où tu as été heureuse, pourquoi je t'ai dit au revoir doucement.
Bon voyage, ma Maya. Reposes-toi.